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    Les amis de John Edward
   

John Edward à l’émission américaine Crier Today
Diffusé sur Court TV (câble)
Animatrice: Jane Wallace
Date: 20 septembre 2000
Merci beaucoup à Wendy Betterini pour la transcription anglaise

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Extrait de l’introduction de l’émission Crossing Over with John Edward (sur la chaîne Sci-Fi)… «À 15 ans, une visite chez un médium a changé sa vie. On lui a dit ce que des études d’université ont maintenant confirmé. John peut réunir des personnes vivant dans le monde physique à celles qui sont décédées».

Jane Wallace: Est-ce sinistre, déstabilisant ou de la fabulation ? John Edward prétend être en contact avec les morts. Il dit être un médium psychique, et pour les croyants, il est un des meilleurs du pays. Vous l’avez peut-être vu dans son émission Crossing Over sur la chaîne Sci-Fi. Voici un extrait.

Extrait de Crossing Over:
John Edward (parlant à deux femmes en pleurs dans l’assistance): «Maintenant, une des choses que je ne sais pas, s’il y avait un certain type euh… si un des bébés était prématuré, ou si un des bébés était très petit, mais je sens qu’il y a quelque chose au sujet d’un des bébés dont je dois faire mention. (femmes inclinant la tête)

Femme 1: Au début, j’étais enceinte de triplets et j’en ai perdu un.

John Edward: D’accord, bon laissez-moi l’expliquer de cette façon. Je crois que celui qui est décédé est avec eux, d’accord ? Parce qu’ils me font ressentir que l’un d’eux avait plus besoin d’aide que les autres.

Jane Wallace: Il a récemment écrit un livre au sujet de ce qu’il fait, intitulé One Last Time et dans quelques minutes il prendra vos appels téléphoniques, le numéro est 877-548-3288. Pour la Côte Ouest, nous ne pouvons pas prendre vos appels en raison du décalage horaire, donc n’appelez que du Midwest et de l’Est. John Edward, bienvenue.

John Edward: Merci de m’accueillir.

Jane Wallace: Comment faites-vous cela ? (John rit) Comment entendez-vous ce que nous n’entendons pas, voyez-vous ce que nous ne voyons pas, et que répondez-vous aux gens qui pensent que c’est de la fabulation ?

John Edward: Je vais commencer par la première question. Je pense que ce que je fais n’est rien d’exceptionnel, je pense que nous avons tous la faculté de faire ce que je fais, à un certain degré ou à un certain niveau.

Jane Wallace: Mais comment cela vous vient-il ? Cela vient-il comme une pensée, une image, un son ?

John Edward: Cela me vient comme une énergie, et j’agis comme une radio, et j’interprète ce que je reçois. Et je la capte de trois façons: je vois, j’entends et je ressens cette énergie, cette information. Ce n’est pas comme une conversation, je ne les entends pas me parler de la manière dont je vous parle. Je vois des impressions, j’entends des choses, mais je les entends de l’intérieur comme la voix de mon propre esprit, comme une pensée, et je reçois des sentiments, et j’interprète ce que je vois, ce que j’entends, ce qui je ressens dans mon référentiel. Et parfois c’est correct, souvent c’est faux, mais je le reçois et je le dis aux gens, s’il vous plaît faites attention à ce qui me vient, sachant que je pourrais aller dans une mauvaise direction, mais je sens que c’est une occasion pour eux, et je continue avec ce que je reçois. Et habituellement c’est ce que je fais. J’essaye de confirmer ce que je peux, avec ce qui me vient. Et en ce qui concerne les gens qui n’y croient pas, c’est leur droit. Je pense qu’il est important d’avoir un esprit ouvert et de rester objectif quand on fait cela, et pourtant rester sceptique est aussi sain. Mais pour les gens qui ne sont pas sceptiques, qui sont plutôt cyniques, s’ils n’ont pas de système de croyance, ce n’est pas à moi de leur donner un.

Jane Wallace: Bon, mais c’est également émotionnel, profondément troublant quand quelqu’un meurt, je veux dire, vous pourriez être accusé de dire aux gens ce qu’ils veulent entendre venant d’un être cher disparu.

John Edward: Je crois, avant que mon émission ne soit diffusée, je crois que les gens pouvaient dire cela, mais les personnes qui regardent l’émission verront que, vous savez, il y a un bon nombre de soirées où je ne dis pas aux gens ce qu’ils veulent entendre, vous savez, où je dois dire à quelqu’un «je suis désolé, ce n’était pas un accident, c’était un suicide» ou que, vous savez, c’était en train de se produire, ou que l’information qui me venait était dans l’avenir et que c’était une tragédie. Ce n’est pas toujours, vous savez…

Jane Wallace: Recevez-vous parfois des choses si dérangeantes que vous ne les dites pas ?

John Edward: Non, ma philosophie c’est: si je le reçois, je le dis.

Jane Wallace: Donc, laisser couler les choses.

John Edward: Et parfois, d’une manière humoristique, les choses sortiront de ma bouche, je le dis, et puis après – c’est comme, je l’entends pendant que je le dis. Par exemple, je peux dire quelque chose de profondément privé et personnel à quelqu’un dans l’assistance, et toutes ces autres personnes sont assises là en les regardant, et la personne me regarde pensant «Oh mon Dieu ! Je ne peux pas croire qu’il vient juste de dire cela, pas que devant ces personnes, mais à la télévision». (Jane Wallace rit) Donc, c’est intéressant.

Jane Wallace: Comme un «syndrome psychique de Tourette».

John Edward: Oh mon Dieu, oui, c'est exactement les mots que j’emplois !

Jane Wallace: (rire) Non, vraiment ?

John Edward: Je le jure, c’est exactement les mots que j’emploie, je sens que j’ai une «Tourette psychique».

Jane Wallace: (rire) Ouais, ouais, ouais. Vous avez travaillé sur des cas criminels. Avez-vous déjà pu aider dans une enquête sur un cas criminel ?

John Edward: Euh, ce que je fais, et habituellement ce qui se produit… vous savez, je pense que ce qui est drôle, c’est que chaque fois vous entendez que quelqu’un est médium, et ils disent «Et il travaille avec la police». C’est souvent la réplique suivante. Donc, habituellement je ne parle pas de ce que je fais, mais…

Jane Wallace: Contrairement à Dionne Warwick et son réseau d’amis. (rire)

John Edward: (rire) Ne nous aventurons pas sur ce terrain.

Jane Wallace: (rire) D’accord, mais dites-moi que vous ne vous voyez pas comme faisant partie de cette catégorie, n’est-ce pas ?

John Edward: Non, Oh ! Non, non, non, non, non, non, non.

Jane Wallace: Non, d’accord, non. Vous ne faites pas payer à la minute, d’accord.

John Edward: Ce qui se passe habituellement dans des cas d’enquêtes c’est que je m’assois et fais une lecture pour une famille, et leurs parents me viennent, et leur parent a été assassiné. Je leur fournirai alors l’information, et la personne dirait «je ne le sais pas, donc ce n’est pas vrai», et je dis «bien, écrivez-le». Et alors ce qu’ils font c’est qu’ils rappellent les enquêteurs, et ils leur disent ce qu’ils ont su pendant la session et les enquêteurs m’appellent et me disent «comment avez-vous su cela ? Vous auriez pu savoir cela seulement en travaillant sur le cas ou si vous aviez été sur la scène du crime».

Jane Wallace: Comment l’avez-vous su ?

John Edward: Eh bien, ce qui se passe c’est que la personne qui a vécu ce type de traumatisme ou de tragédie me vient, et décrit des événements et des choses et… pour la question suivante vous allez me demander s’ils peuvent me dire qui l’a fait ? Et oui je suppose qu’ils peuvent, mais je ne me sens pas assez confiant avec ce que je fais pour mettre la vie de quelqu’un en danger… que se passerait-il si je faisais une mauvaise interprétation ? Et si je disais «Oh, je pense que c’est Tim qui a fait ça» mais si c’était Tom ? Vous savez que Timmy et Tommy peuvent être le même nom, mais ils pourraient être deux personnes distinctes ? Ce n’est pas…

Jane Wallace: Mais avez-vous déjà vu le visage de la personne qui pourrait être le meurtrier ?

John Edward: Normalement ce qui se passe c’est que je transmets l’information qui me vient aux enquêteurs, ils la prennent et habituellement cela les aide dans le dossier sur lequel ils travaillent.

Jane Wallace: Je veux dire voyez-vous le moyen utilisé pour perpétrer le meurtre, voyez-vous, que voyez-vous…

John Edward: Normalement j’obtiens une description de ce qui s’est produit sur la scène du crime, ce que la personne a éprouvé, ce qui pourrait avoir été utilisé, les énergies de ceux qui étaient impliqués, parfois l’histoire les événements qui ont mené à cette scène, et ses conséquences, ceux qui étaient là, ceux qui n’étaient pas là, les témoins, ce genre de choses. C’est comme prendre une photo instantanée et puis décrire ce que j’y vois, sauf que les éléments de ma photo instantanée sont mobiles.

Jane Wallace: Diana de Washington, allez-y, nous prenons votre appel.

Diana: Bonjour. Euh, ouais, je pensais, j’espérais que vous pourriez peut-être, si vous pouviez contacter mon fiancé, son prénom était Sean, il est décédé…

John Edward: Arrêtez, stop, stop. D’accord, Diana, et pour tous ceux qui écoutent, la chose la plus importante, lorsque vous faites quelque chose comme cela, c’est de ne pas fournir de l’information à la personne qui fait ceci [une «lecture» ou session médiumnique], vous devez le laisser faire pour vous. Et la manière dont je reçois les choses, c’est que je vais vous transmettre ce que je reçois et vous pourriez espérer des nouvelles de votre fiancé, mais je vais peut-être me connecter à quelqu’un d’autre, d’accord ?

Diana: Bien.

John Edward: Ne faites que répondre par oui ou non, ne dites rien d’autre, et si vous ne comprenez pas quelque chose, s’il vous plaît notez-le. Je pourrais mal interpréter ce que je reçois et au lieu de m’appeler, vous pourrez rappeler à l’émission et leur dire.

Diana: D’accord.

John Edward: Diana, je ne sais pas si votre père est décédé, mais il y a un homme d’un certain âge qui est décédé. Il y a quelqu’un qui est décédé soit d’un cancer du poumon, soit de l’emphysème, noirceur dans la poitrine, c’est la première chose qui me vient.

Diana: Mon grand-père.

John Edward: C’est votre grand-père ?

Diana: Mm hmm [réponse affirmative]

John Edward: D’accord, est-ce du côté de votre mère ?

Diana: Non, c’est du côté de mon père.

John Edward: D’accord, bien au-dessous de lui, il a une femme qui est avec lui. Au-dessous de lui signifie, pour moi, plus jeune. Quelqu’un qui pourrait être sa fille, ou quelqu’un de plus jeune que lui, c’est quelqu’un qui est là également. Ils me demandent de vous parler d’un nom en «N» comme Nancy, ou Nan, ou d’un certain son en «N» qui est relié à cette famille, et de quelqu’un qui est en dehors de mon état, donc en dehors de New York, et probablement hors de votre état aussi. Euh, et quelqu’un a eu une tumeur au cerveau. Quelqu’un est décédé d’un anévrisme ou d’une tumeur au cerveau, quelque chose qui affecte la tête, ce n’est pas du côté de votre grand-père, c’est plutôt de l’autre côté, du côté de votre mère. Qui a eu un frè…

Diana: Mon grand-père a eu un anévrisme au cerveau il y a plusieurs années et pour lequel il a été opéré, mais c’était le père de ma mère.

John Edward: D’accord, c’est ce que je viens de dire, qu’il était de l’autre côté de la famille, pas de ce côté. Euh, c’est ce qui me vient, je ne peux me connecter à votre fiancé, mais savez-vous que vous allez déménager ?

Jane Wallace: (rire)

Diana: Non. (rire)

Jane Wallace: (inintelligible) pas une expulsion… (rire)

John Edward: Euh, voici le tableau, quand ils me montrent des boîtes cela symbolise, pour moi, que quelqu’un entreprend une démarche, ou qu’il va déménager. Vous déménagez. Ou vous venez de déménager, mais je vois un déplacement. Parce que chaque fois qu’ils me montrent cela, c’est ce que ça signifie. Qui travaille dans le domaine de la santé Diana ?

Diana: Ma colocataire travaille en santé mentale.

John Edward: D’accord, et elle vit avec vous maintenant ?

Diana: Mm hmm. [réponse affirmative]

John Edward: D’accord, c’est leur manière de confirmer votre déménagement, ou son déménagement, mais quelqu’un autour de vous déménage, parce que c’est ce qu’ils me montrent. Vous n’êtes pas de la Californie, non ?

Diana: Non, mais mon…

John Edward: Amusez-vous bien là-bas.

Diana: Euh, je vais en Cali… (rire)

John Edward: Ils me demandent de vous parler de la côte Ouest et de la Californie, donc…

Diana: D’accord, Los Angeles est le lieu de naissance de mon fiancé.

John Edward: D’accord, il y a un certain lien avec la Californie ici.

Jane Wallace: Comment a-t-il été Diana ?

Diana: Pardon ?

Jane Wallace: Comment a-t-il été ?

Diana: Euh, très bon " (rire)

(John Edward rit)

Jane Wallace: Bien, je vais passer à Judy de Westchester parce qu’il ne reste plus beaucoup de temps. Judy, allez-y.

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