Accueil
Transcriptions
Témoignages
Sondages
Extraits vidéo
FAQ
Discussion
Livre d'or
Contact
Liens

    Les amis de John Edward
   

John Edward à l’émission américaine Today
Diffusé sur le réseau NBC
Animatrice: Katie Couric
Date: 21 novembre 2000

Page 1 de 2


Depuis des siècles, les scientifiques et les théologiens ont débattu la possibilité de la vie après la mort. Le médium John Edward déclare non seulement qu’il y a une vie après la mort, mais qu’il a aidé des milliers de personnes à communiquer avec leurs êtres chers disparus. Actuellement, il anime l’émission la plus populaire de la chaîne Sci-Fi, Crossing Over with John Edward. Extrait d’une de ces émissions: 

John: Qui a été asphyxié, qui ne pouvait plus respirer ?

Madame 1: Mon mari.

John: D’accord, était-ce la cause de son décès ?

Madame 1: Oui.

John: D’accord, il utilise cela comme description. Qui est Catherine ?

Madame 1: C’est moi.

John: Vous êtes Catherine. D’accord, c’est leur manière de me transmettre une confirmation. Et février, le mois de février ?

Madame 1: C’est l’anniversaire de mon frère.

John: Celui qui est décédé ? D’accord. Pourquoi les chutes du Niagara sont-elles significatives ?

Madame 1: Nous étions là il y a peu de temps.

John: Vous étiez aux chutes du Niagara, il y a peu de temps, d’accord.

Madame 1: Moi et ma fille.

John: Avez-vous trouvé une plume là-bas ?

Madame 1: Oui, et ma fille...

John: Avez-vous dit à votre fille qu’elle venait de papa ?

Madame 1: Oui.

John: D’accord, ceci est une confirmation qu’il était là pour vous, d’accord ? Parce qu’il me montre la plume. C’est une chance pour vous que ce soit le symbole de ma mère quand elle communique avec moi. Je trouve des plumes. Ainsi, c’était un symbole très facile à obtenir pour moi. Mais je dois confirmer que c’était définitivement, définitivement lui pour elle là-bas.

Madame 1: Merci.

Katie: John est également l’auteur du livre à paraître What If God Were The Sun? Bonjour John Edward, bienvenue.

John: Merci de m’accueillir.

Katie: Dites-moi quand vous avez réalisé, la première fois, que vous aviez cette force.

John: Ce n’était vraiment pas comme une réalisation qui m’a frappé. J’ai eu une lecture psychique avec une femme nommée Lydia Clar et j’y étais allé pour la discréditer. Elle faisait des lectures à la maison de ma grand-mère.

Katie: Vous aviez 15 ans alors ?

John: J’avais 15 ans à l’époque et j’ai voulu prouver à ma famille qu’elle n’était pas crédible. J’ai donc dit: «Je vais aller la voir pour une lecture et je vais vous montrer qu’elle ne pourra pas lire en moi». Et je me suis assis avec elle et au bout d’environ 20 minutes, elle était très, très impressionnée. Et pendant cette session elle m’a dit que j’avais cette capacité et que je travaillerai avec elle.

Katie: Pourquoi étiez-vous si surpris John, parce que je sais qu’étant plus jeune, vous disiez que vous étiez un enfant normal qui grandissait à Long Island,

John: Um hmm.

Katie: à Glen Cove, votre père était officier de police, vous aviez l’habitude de manger de la pizza les vendredis soirs,

John: Exact.

Katie: une enfance assez typique. Mais même alors, vous réalisiez que vous aviez une espèce de force, n’est-ce pas ? Quand étiez-vous un jeune garçon ?

John: Bien, c’était après que j’ai eu la lecture avec Lydia que j’ai commencé à apprendre ce qu’est réellement les phénomènes psychiques. Alors j’ai commencé à réaliser «Oh, c’était donc un événement psychique qui se produisait alors». Donc en grandissant, je ne me rendais pas compte qu’elles étaient des choses psychiques, je pensais qu’elles étaient normales.

Katie: Quels genres de choses avez-vous expérimenté dans votre enfance ?

John: Une de celles qui ressort dans mon esprit c’est produite lorsque j’avais environ 7 ou 8 ans et je sortais de la douche à la maison de ma grand-mère et tandis que je sortais de la salle de bain, je regardais où elle était assise dans la salle à manger et très rapidement, j’ai entrevu un homme assis sur une chaise et j’ai eu une réaction et elle m’a vu et m’a demandé «qu’est-ce qui se passe ?» et j’ai dit «là, il y avait un homme se reposant juste là» puis «et maintenant il n’est plus là». Elle a dit «décris-le». J’ai dit «Eh bien, il ressemble à, vous savez, votre fils le plus âgé» et j’ai dit «mais un peu différent» et j’ai donné une description, elle a ri et elle a dit «ne sois pas nerveux, ce n’est que ton grand-père. C’est sa chaise. Il avait l’habitude de s’asseoir tout le temps ici avec moi».

Katie: En fait, votre grand-mère et votre mère, elles étaient assez passionnées par les choses psychiques et...

John: Ouais, je dirais même d’elles qu’elles sont des mordues du psychique. Elles...

Katie: Vraiment?

John: Oh oui, elles ne pouvaient jamais en trouver assez sur le sujet.

Katie: Mais alors que vous aviez 17 ans si je comprends, je suppose que c’était en 1987, est-ce que c’est bien votre âge ? Vous avez décidé de le prendre au sérieux, parce que vous avez vu dans l’avenir que votre oncle allait avoir une crise cardiaque.

John: J’ai eu, j’ai eu un, ouais, j’ai eu un problème qui a été soulevé. J’ai reçu des informations sur la santé d’un oncle et c’était quelque chose qui n’aurait pas pu être arrêté et c’était assez difficile à vivre et puis un an et demi plus tard, l’opposé s’est produit. Ma mère est décédée et je n’ai vu rien en rapport avec cela. Et ces deux événements ont été des points tournants dans mon développement. J’ai vu l’importance et l’impact que la mort peut avoir dans une famille et l’importance de savoir qu’après notre départ d’ici il y a quelque chose. Donc en me basant sur mon propre besoin de savoir que c’est réel, mon travail a changé et je suis passé d’un psychique qui travaille davantage sur ce qui se produit maintenant dans la vie de quelqu’un et projeté dans le futur, ce qui je pensais qui était la meilleure chose à faire, c’était passionnant. C’était très «cool» d’être capable de faire cela étant enfant. Pour aller et «Oh, mon Dieu, je dois vraiment savoir que c’est réel, je dois savoir que quand je vais me marier ma mère sera là pour voir cela, et quand j’aurai des enfants qu’elle pourrait voir les petits-enfants qu’elle ne rencontrera jamais. " Donc...

Katie: Donc avant de commencer à aider d’autres, avez-vous essayé de communiquer avec vos propres êtres chers qui sont décédés ?

John: J’ai essayé, mais c’est tellement plus difficile à cause du manque d’objectivité. Il y a tellement plus de choses que vous savez d’eux. Donc je n’aime pas lire pour mes amis et ma famille. Mais quand je lis quelqu’un que je ne connais pas je peux être un peu comme un bulldog. Je reste avec ce que je dis parce que j’ai l’objectivité si je ne connais pas la personne ainsi je peux clairement rapporter ce que je reçois symboliquement.

Katie: Et ainsi vous comparez ce processus à avoir un genre de signal radio, euh, dites-moi comment tout cela fonctionne. Pour vous.

John: Eh bien, je regarde quelqu’un de l’au-delà comme étant la station de radio et ils me projettent leur signal et c’est de l’énergie. Cette énergie me parvient et alors j’interprète ce que je vois, ce que j’entends, et ce que je ressens. Ainsi ils communiquent avec une énergie, par exemple la télépathie. Il s’agit donc d’une espèce de communication, j’interprète ces symboles et puis, selon ma compréhension, j’essaie d’en saisir la signification. Ainsi je dis à la personne «je vois ceci, j’entends ceci» et c’est de cette manière que l’information m’arrive. Et c’est habituellement pour confirmer qui elles sont, comment elles sont décédées et quelle relation la personne a dans leur vie maintenant et ce qui pourrait leur arriver.

Katie: Quelle a été la lecture la plus surprenante que vous ayez jamais faite ou la communication la plus étonnante que vous ayez eue avec quelqu’un ?

John: Je pense qu’une des lectures les plus étonnantes que j’ai jamais eue s’est produite récemment pendant Crossing Over with John Edward. J’étais dans l'assistance en train de travailler avec quelqu’un placé dans la dernière rangée et je transmettais un message au sujet d’un frère qui était décédé et je continuais à recevoir l’information et je faisais des remontrances à cette femme: «comment ne savez-vous pas que vous avez un frère qui est décédé dans une voiture» et environ une heure plus tard, je suis encore en train de travailler sur cela. Et pour faire une histoire courte, le message s’est avéré être pour le préposé du stationnement qui était juste derrière le bâtiment et toute l’information qui a été transmise a été confirmée par lui plus tard. Et ça a été une grande surprise pour moi, j’ai dit «woah !».

Katie: Vous savez, un bon nombre de gens, je suis sûr que vous avez rencontré un grand nombre de sceptiques,

John: Occasionnellement.

Katie: qui affirment que c’est de la fumisterie et que vous tirez profit de personnes affligées par le chagrin, qui sont dans un état émotif très difficile. Que répondez-vous à ces personnes ?

John: Rien. Absolument rien. Si quelqu’un n’a pas de système de croyance, ce n’est pas à moi, je n’ai pas une si grande ambition, pour les aider à en développer un pour eux. Je sens que mon travail est de faire ce que je peux pour aider les gens et je me concentre là-dessus.

Katie: Un bon nombre de gens disent également, vous savez des personnes comme vous, «Oh Harry, je vois quelqu’un qui s’appelle Harry». Et n’importe qui pourrait dire que «Savez-vous, j’ai un cousin éloigné et je crois qu’il s’appelait Harry et vous savez qu’untel à beaucoup de cheveux. Hé, vous êtes un médium !». Que répondez-vous à ces gens ?

John: Ces gens qui font ce genre de choses ? Je dirais fuyez-les. Mais si une personne compétente fait cela, il y aura plus d’une confirmation, elle va pouvoir obtenir d’autres choses de Harry. Elle va pouvoir obtenir où Harry est connecté, comment Harry est décédé, elle va recevoir un message relié à Harry et c’est le grand message. Monter avec les confirmations et les détails à confirmer, pas que pour prouver, mais cela aide à prouver qu’il y a quelque chose au-delà du corps physique.

Katie: Vous est-il déjà arrivé de ne rien voir pendant une session ?

John: Oh mon Dieu, oui. Absolument. Quand je suis...

Katie: Comment cela se fait-il ?

John: Je ne sais pas. 

Katie: Certains esprits seraient-ils plus communicatifs que d’autres?

John: Je pense que certaines personnes sont plus communicatives que d’autres. Et je pense que certains ne reconnaissent pas l’information parce qu’ils attendent des nouvelles d’une personne spécifique de sorte que, vous savez, ils ont, ils ont perdu un enfant ainsi ils veulent entendre parler de ce fils. Je reçois cependant des informations de tante Tilly. Ils ne veulent pas entendre parler de tante Tilly, ils veulent avoir des nouvelles de leur fils.

Lire la suite